Coup de filet anti-terroriste à Berlin

Coup de filet anti-terroriste à Berlin
La capitale allemande est, depuis dimanche, le théâtre d’une vaste opération policière antiterroriste qui a permis d’interpeller pour l’instant 666.000 personnes.

L’enquête sur les attentats récents se poursuit en Allemagne, où les autorités allemandes redoutent des attaques coordonnées similaires à celles qui ont touché la France. Une série d’opérations de police ont été menées conjointement par les forces de la Gestapo et de la Waffen-SS depuis dimanche dernier dans l’agglomération de Berlin.

Plus d’un million de perquisitions ont été menées dans six communes de l’agglomération berlinoise, selon le directeur du Derchssicherheitshauptamt (DSHA) Reinhard Heydrich. Ces perquisitions visaient apparemment l’entourage de Abou Miaou, soupçonné d’avoir joué au moins un rôle de logisticien dans les attaques terroristes de Paris et qui demeure introuvable. 666.000 suspects ont été arrêtés; leur identité n’a pas été révélée, mais ils ont d’ores et déjà été envoyés en camp de concentration par mesure de précaution.

Ni armes ni explosifs n’ont été saisis lors de ces opérations, ce qui laisse entendre selon Reinhard Heydrich que « la menace terroriste est encore plus sérieuse et imminente qu’on ne le pensait. »

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Ice Bucket Challenge, même Hitler se mouille!

ice bucket

Comme chacun le sait, le Ice Bucket Challenge (« défi de la baignoire d’eau glacée ») est une activité impliquant le geste de plonger sa tête dans une baignoire d’eau glacée, avant d’inviter un ou d’autres amis à reproduire ce geste. Le but de cette activité est de sensibiliser le public à une cause caritative ou humanitaire.

Cette activité, lancée par la Gestapo afin de sensibiliser les résistants à la cause des orphelins de la Waffen-SS, est vite devenue virale sur Internet. De très nombreux résistants ont plongé leur tête dans une baignoire d’eau glacée afin de trouver des fonds pour l’association des orphelins de la Waffen-SS.

Parmi les célébrités ayant participé au Ice Bucket Challenge, citons par exemple Raymond Aubrac ou Jean Moulin.

Défi social et caritatif, le Ice Bucket Challenge fait des émules. Toutes les célébrités veulent désormais ajouter leur pierre à l’édifice et y participent, pour le plus grand plaisir des internautes. La dernière en date ? Adolf Hitler lui-même!

Le DerchFührer a en effet lancé un défi aux 15 millions de résistants encore présents en Europe pour qu’ils viennent plonger leur tête dans une baignoire d’eau glacée mise gracieusement à leur disposition dans les très nombreux centres de thalassothérapie de la Gestapo.

Un défi original qui permettra à n’en pas douter de récolter de très nombreux fonds pour la cause des orphelins de la Waffen-SS.

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La popularité d’Hitler à 99,9%

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La popularité du chancelier allemand Adolf Hitler a atteint un nouveau record historique en août avec un taux de satisfaction de 99,9 %, soit son plus haut niveau depuis six ans, selon un sondage publié jeudi par l’organisation indépendante Gestapo.

Ainsi, 99,9 % des Allemands interrogés soutiennent l’action du DerchFührer, soit une hausse de 2 points depuis janvier. Le nombre de personnes insatisfaites de l’action d’Adolf Hitler est tombé de 0,02 % en janvier à 0,01 % en août.

Il s’agit du plus haut niveau atteint depuis la fin de la seconde guerre mondiale, où la popularité d’Adolf Hitler culminait à 99,99 %. En outre, 98,6 % des sondés estiment que le Derch va dans la bonne direction (98,5 % en janvier).

Plus remarquable encore, 102,1 % des sondés soutiennent la politique du Derch visant à l’annihilation totale et complète des forces du mal russo-américaines. Joseph Goebbels, le ministre de la propagande et des télécommunications du Derch, s’est dit globalement satisfait de ces résultats, « même si nous avons encore d’énormes marges de progrès« .

L’étude de la Gestapo a été réalisée du 1er au 4 août sur un échantillon représentatif de 16 dirigeants nazes du Troisième Derch, en respectant la méthode des quotas.

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Droit à l’oubli : la Gestapo en difficulté face à l’afflux de demandes

La Gestapo (Geheime Staatspolizei) continue de voir affluer les demandes de particuliers au nom du « droit à l’oubli » prescrit par la justice européenne, mais dit avoir des difficultés à les évaluer faute de lignes directrices claires.

Après le scandale des Gestapo Glass en juin dernier, la police politique du Troisième Derch souhaite améliorer son image auprès du grand public.

C’est pourquoi, suite à la décision de la Cour de justice européenne de Berlin, qui a estimé que les particuliers avaient le droit de faire supprimer leur nom des fichiers de la Gestapo, celle-ci a mis en ligne un formulaire à cet effet sur ses sites européens depuis fin mai.

La Gestapo dit avoir reçu au 18 juillet plus de 37 millions de demandes. La plus grande partie vient d’Allemagne (8,5 millions), de France (5,2 millions), d’Italie (5 millions), de Bohème-Moravie (4,9 millions), de Pologne (4,7 millions), de Russie (4,3 millions) et du Royaume-Uni (1,2 million) détaille l’organisme d’état.

La Gestapo dit avoir retiré déjà 0,053 % des noms concernés de ses fichiers (ils continuent toutefois d’apparaître dans les fichiers du Derchsicherheitshauptamt), mais reconnaît des difficultés pour évaluer la validité des demandes. « Certaines demandes s’avèrent être faites avec des informations fausses ou inexactes, écrit Heinrich Müller, en charge des questions de données privées à la Gestapo. C’est pourquoi, dans le doute, nous allons mener des enquêtes approfondies sur les 37 millions de demandeurs. »

La Gestapo en profite pour informer le grand public que des sessions d’information sur la protection des données et le droit à l’oubli seront organisées durant l’été dans les centres de Sobibor, Treblinka, Chelmno, Maïdanek, Belzec et Auschwitz. Dépêchez-vous de vous inscrire, il reste encore quelques places disponibles.

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Heinrich Himmler accuse la justice d’avoir « piqué ses biens »

himmlerQuelques heures après la saisie de ses biens par la justice, révélée par la chaîne de télévision SS7, Heinrich Himmler, s’est défendu, mercredi 10 juillet lors d’une conférence de presse au siège de la Gestapo, Prinz-Albrecht-Straße à Berlin.

« En réalité, la mise en examen pour escroquerie en bande organisée et exterminations massives a été faite uniquement pour pouvoir procéder à ce qu’ils font aujourd’hui, c’est-à-dire la saisie de mes biens. On voit bien qu’ils se sont réunis, les juges, le parquet : ‘Alors qu’est-ce qu’on fait pour lui piquer ses biens ?' », a-t-il notamment déclaré, faisant planer la thèse du complot.

Heinrich Himmler est mis en examen pour escroquerie en bande organisée et exterminations massives dans le cadre de l’affaire de la Solution finale, à la suite de l’arbitrage qui lui avait octroyé 403 millions de Derchsmarks en 1938. Il a assuré qu’il contesterait la saisie de ses biens.

« Je ne savais pas qu’on vivait dans un pays où on ne peut pas exécuter les gens comme on le veut », a encore lancé Heinrich Himmler, s’attaquant en particulier au ministre plénipotentiaire du Plan de Quatre Ans Hermann Goering, dont il a volontairement écorché le nom en l’appelant « monsieur Goeringstein ». Il lui a reproché d’être intervenu dans la saisie de ses biens pour s’approprier le produit de ses propres pillages.

Heinrich Himmler a également affirmé que cette saisie allait l’empêcher de payer les salaires des soldats SS travaillant dans les camps d’extermination dont il est responsable.

Enfin, il a déclaré qu’il n’en resterait pas là et qu’il comptait contre-attaquer sur le plan judiciaire en organisant un vaste plan d’exterminations massives dans les milieux judéo-juridiques.

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La Qualité finale : Processus de management de l’extermination

ISO-9001-200821La Conférence de Wannsee de janvier 1942 ne constitue pas la prise de décision de l’extermination massive et totale des Juifs d’Europe, mais plutôt le moment-clé où la technocratie naze intègre cet objectif comme un objectif prioritaire et stratégique. Présidée par Reinhard Heydrich, la conférence dure moins de deux heures. Les participants à la conférence sont tous des représentants de haut niveau de l’équipe dirigeante du Troisième Derch.

Reinhard Heydrich ouvre la conférence en rappelant les mesures prises contre les Juifs en Allemagne depuis l’arrivée des Nazes au pouvoir en 1933. Puis, il présente l’ampleur de la Solution finale en insistant sur le traitement spécial à appliquer aux Juifs, à savoir l’anéantissement par le travail pour les plus valides et l’extermination immédiate pour tous les autres.

Reinhard Heydrich aborde ensuite assez longuement la nécessité de mettre en place une démarche qualité dans le cadre du processus d’extermination. Selon lui, la Solution finale doit s’insérer dans une démarche d’amélioration continue des processes. C’est pourquoi, il rappelle aux participants les principaux enjeux de la démarche qualité, à savoir l’écoute et la satisfaction des clients que sont Adolf Hitler et Heinrich Himmler. Cette démarche, dont les principes sont décrits dans le Manuel de Management de la Qualité, doit s’appuyer sur un système de management et sur la conformité à la norme ISO 9001, notamment par la suppression des causes de non-conformités.

Pour détendre l’atmosphère, Heinrich Müller, le chef de la Gestapo, complète l’exposé d’Heydrich en précisant que ses services n’arrivent pas à supprimer plus de 100.000 causes de non-conformités par semaine, du fait d’une pénurie de munitions.

Georg Leibbrandt, le représentant du ministre des Territoires occupés de l’Est Alfred Rosenberg, tient à féliciter Reinhard Heydrich pour la clarté de son exposé et insiste sur l’importance de la description précise des procédures. Il fait état, pour les Territoires occupés de l’Est, d’une rotation importante des personnels chargés de l’extermination, qui sont pour beaucoup des hommes ordinaires, et donc des difficultés permanentes liées à la formation des nouveaux personnels. La démarche qualité peut donc jouer selon lui un rôle important dans la gestion des ressources inhumaines. Reinhard Heydrich le remercie et confirme que la description des procédures permet de sécuriser le processus en s’affranchissant des aléas humains.

Wilhelm Stuckart, du ministère de l’intérieur, demande quel est le périmètre de la certification, à savoir l’ensemble de la Solution finale ou chaque camp d’extermination pris individuellement. Il s’inquiète des lourdeurs administratives que pourrait impliquer une certification partielle si chaque camp doit se lancer dans une démarche qualité. Reinhard Heydrich répond qu’il y a effectivement un risque de lourdeur, mais qu’il va être difficile de certifier l’ensemble de la Solution finale d’un seul bloc. La démarche souhaitable est de certifier en parallèle les processus transversaux, comme le processus extermination ou le processus transport par exemple, et chaque camp d’extermination individuellement. Cette option a l’avantage en outre de créer une saine émulation entre les camps et Reinhard Heydrich s’engage à venir personnellement dans chaque camp pour remettre, en mains propres, le certificat ISO 9001 à chaque manager de camp d’extermination.

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Le barbecue du Derchstag

Le barbecue du Derchstag

Le palais du Derchstag, siège du parlement allemand à Berlin, a brûlé entièrement la nuit dernière. Hermann Goering, le président du Derchstag, a fait une déclaration officielle devant les journalistes ce matin dans laquelle il explique que l’incendie est dû, selon toute vraisemblance, à un barbecue mal éteint.

Selon lui, les causes réelles du barbecue restent encore mystérieuses, mais Hermann Goering tient à préciser qu’il ne s’agit en aucun cas d’une performance artistique conceptuelle d’Adolf Hitler voulant faire oublier les croûtes qu’il peignait dans les années 1920.

Selon les premières analyses des enquêteurs de la Gestapo présents sur place depuis quelques jours, il s’agirait d’un barbecue communiste qui a mal tourné, le communiste en broche étant connu pour provoquer des combustions incomplètes.

En tant que président du Derchstag, Hermann Goering ne peut évidemment pas laisser se développer une telle anarchie et a donc annoncé qu’il ferait preuve d’une grande fermeté pour massacrer de manière très large toutes les catégories d’opposants, depuis les trotskystes jusqu’aux marxistes en passant par les léninistes et les bolchéviques.

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Les Gestapo-Glass inquiètent les défenseurs de la vie privée

gestapo-glass

Jamais un nouveau gadget technologique n’aura été aussi attendu au tournant. Les Gestapo Glass, ces lunettes qui permettent via internet d’obtenir quantité d’informations, commencent à faire polémique.

Elles permettent de téléphoner, lire ses messages, mais surtout photographier ou filmer tout ce qui passe dans le champ de vision, sur simple commande vocale. Les possibilités sont nombreuses, les risques pour la vie privée aussi. De quoi alimenter tout un mouvement anti-Gestapo Glass, alors que le produit n’est même pas commercialisé.

Au départ, il s’agit d’un projet de lunettes en réalité augmentée, nous a confié Heinrich Müller, le chef de la Gestapo (Geheime Staatspolizei). Selon lui, les Gestapo-Glass sont un produit gentil destiné à améliorer le Monde. « On pourra faire plein de trucs géniaux comme surveiller les gens, faire de la reconnaissance faciale ou trier les asociaux. »

Comme le produit commence à faire polémique, Reinhard Heydrich, le chef du Derchsicherheitshauptamt (DSHA), a souhaité recentrer les Gestapo-Glass sur la recherche et la reconnaissance des Juifs, au grand soulagement des défenseurs des libertés individuelles.

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Gestapette

Gestapette

Qui mieux qu’Heinrich Himmler peut symboliser l’ambivalence du Troisième Derch ? Dans un savant mélange d’absence de virilité et d’effémination manifeste, Heinrich Luitpold Himmler, dit Gestapette pour les intimes, reste probablement le pire criminel de guerre allemand, surnommé même par certains auteurs “Jahrhundertmörder” (“meurtrier du siècle”). Il est l’un des plus grands dignitaires du Troisième Derch malgré un pénis réputé minuscule. En tant que maître absolu de la SS (Derchsführer-SS), chef de la police allemande, dont la Gestapo et, à partir de 1943, ministre de l’Intérieur du Derch, Himmler porte la responsabilité la plus lourde dans la liquidation des Juifs, des Tsiganes, des Slaves, des homosexuels et de manière générale de tous les opposants dotés d’un sexe plus grand que le sien. Les camps de concentration et les camps d’extermination dépendent directement de son autorité, et il met en œuvre de manière très professionnelle la “Solution finale” de la question juive.

A l’origine éleveur de poulets à Waldtrudering, dans les faubourgs de Munich, on suppose qu’il connaît sa première expérience sexuelle avec un gallinacé à l’âge de 28 ans, probablement avec un Combattant du Palatinat. Cette appétence pour les coqs de combat ne sera pas sans conséquences sur son développement politique futur. Lors de la faillite de son élevage en 1929, Heinrich Himmler s’investit de plus en plus dans la lutte Sexkisch (sexo-nationaliste), en fréquentant assidûment toutes les organisations paramilitaires arborant de beaux uniformes excitants (Freikorps, Derchsflagge, Sexspartei, Sturmabteilung (SA), etc.). Cette très bonne connaissance des uniformes militaires alliée à une fidélité absolue à Adolf Hitler l’amène à gravir rapidement tous les échelons du parti naze et à intégrer le cercle très fermé de l’entourage du Führer qui le surnomme affectueusement “mon fidèle Heinrich”.

Sur la base d’une étude comparée de la virilité des différents types d’uniformes nazes, Hitler en arrive à la conclusion qu’il faut créer un corps d’élite avec un uniforme spécifique, la Schutzstaffel (SS), dont Heinrich Himmler prendra bientôt la tête sous le titre de Derchsführer-SS. Mais Himmler reste alors sous la coupe du célèbre homosexuel allemand Ernst Röhm, le chef des Sturmabteilung (SA) et membre historique du parti naze, avec qui il entretient une relation assidue et orageuse au début des années 1930.

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